Histoire
Retrouvez ici les événements qui ont marqué la vie de l’atelier depuis sa création en 1986
2024
Obtention du Label Entreprise du Patrimoine Vivant.
2023
Maria intègre l’entreprise en tant qu’office manager.
2022
L’atelier déménage à 20 minutes de Montpellier, au pied du Pic Saint Loup.
2020
Frédéric, Octave et Lucie s’associent pour créer « Chaudière Violins »
un atelier proposant des instruments neufs fabriqués par les 2 luthiers et l’achat-vente d’instruments et d’archets anciens de première qualité.
2017
Article sur le « Armingaud » Del Gesù de 1732 – The Strad Magazine, novembre
2017
Octave intègre l’entreprise en tant que luthier
spécialiste des instruments anciens Français.
2017
Frédéric Chaudière devient expert auprès de la Cour d’Appel de Montpellier.
2016
L’atelier fête ses 30 ans d’existence.
2015
Émission « Les Carnets de Julie » tournée dans l’atelier – France 3
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2014
« Ils fabriquent les Stradivarius de Montpellier »
2013
Obtention du label Entreprise du Patrimoine Vivant.
2011
Organisation de la Fête des luthiers de Montpellier
artisans, fournisseurs, musiciens et public se réunissent dans une ambiance festive.
2010
Prix du jury et prix du public au concours international « Violoncelle en Seine »
à Paris pour un violoncelle de Frédéric.
2009
Lucie intègre l’entreprise pour en partager le pilotage avec Frédéric.
2008
Organisation de l’exposition « Stradivarius-Montpellier 2008 »
en partenariat avec le Musée Fabre de Montpellier, le festival de Radio France, les éditions Actes Sud, la Royal Academy de Londres, la Chi-Mei Foundation de Taiwan, Dextra Musica à Oslo.
15 Stradivarius sont exposés, le catalogue est co-écrit avec Peter Biddulph. Ce sont même 20 instruments du maître luthier qui seront joués sur scène pour le concert d’ouverture du festival de Radio France avec Augustin Dumay en soliste.
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2006
Article sur le « Kruse » Antonio Stradivari de 1721 – The Strad Magazine, juin
2005
Lucie intègre l’Académie Internationale de Musique de Montpellier (A.I.M.M.) dont elle assure la gestion et le développement.
2002
Article sur le « Alard » Del Gesù de 1742 – The Strad Magazine, juin
violon de J. Guarneri Del Gesù de 1742
2002
Création de l’association « Académie Internationale de Musique de Montpellier » (A.I.M.M.)
avec 4 confrères luthiers de Montpellier : Wolfram Neureither, Nicolas Gilles, Yann Poulain et Baptiste Juguera.
Chaque été l’AIMM organise des master-classes de violon, alto, violoncelle et musique de chambre avec d’éminents professeurs de la Menuhin School, Juilliard, Curtis, etc.
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2000
L’atelier déménage à l’Hôtel Magnol
un hôtel particulier ayant appartenu au célèbre botaniste Pierre Magnol. L’activité de l’atelier se diversifie et propose dorénavant l’achat-vente d’instruments et d’archets anciens.
Découvrir l’hôtel Magnol
1998
Frédéric réalise une copie du violon « Alard » de Guarnerius Del Gesù avec François Denis et Eric Lourme.
Travail collaboratif sur une copie du violon « Alard », Guarnerius Del Gesù de 1742, à la demande du Musée de la Musique de Paris.
Site du Musée de la Musique de Paris
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1996
Création de l’association Trans’Art
avec Hubert Nyssen (fondateur des éditions Actes Sud) et Jacques Prat (violon solo de l’Orchestre National de Montpellier). L’association organise des soirées artistiques pluridisciplinaires à Montpellier et alentours.
–
Rencontre avec Ruggiero Ricci pour que Frédéric fabrique deux violons.
1992
Premier prix du concours de sonorité « Maurice Vieux » à Paris pour un nouvel alto de Frédéric.
–
Rencontre avec Norbert Brainin, pour qui Frédéric fabrique un violon d’après Del Gesù, puis, à sa demande, une copie de son célèbre « Gibson » Stradivarius de 1715.
1990
Déménagement de l’atelier rue de la Merci, toujours dans le centre de Montpellier.
1989
Premier prix du concours de sonorité « Maurice Vieux » à Paris pour un alto de Frédéric.
1986
Création de l’atelier de Frédéric Chaudière, dans le centre historique de Montpellier.
L’Hôtel Magnol
« Rénover des bâtiments anciens nourrit l’imaginaire et permet de se projeter dans le temps.
J’avais 13 ans la première fois que j’ai poussé la porte de l’Hôtel Magnol, un palais abandonné à son sort. Attendant que quelqu’un l’éveille de son long sommeil en s’intéressant à lui.
Avec beaucoup d’amour, de temps et de persévérance, ma famille a ramené à la vie ce joyaux architectural de Montpellier, avec l’atelier de lutherie bien sûr, mais aussi avec les nombreux événements partagés.
Des concerts, des soirées costumées, des dîners, des répétitions, des enregistrements, un défilé de mode, des réunions, des projections, des expositions, des conférences de presse, des visites guidées, …
Ces rencontres établies sur 20 ans, ont fait de l’Hôtel Magnol un lieu culturel important et ont participé à me construire.
Aujourd’hui, l’atelier de lutherie est installé dans les pins à quelques kilomètres de Montpellier où nous poursuivons notre travail de passeurs d’histoires de violons.»
Lucie